Colombeia

Nous n'avons absolument rien de nouveau et de bon dans ce pais je ne crois plus au nouvéles, vous recevez les gazétes de ce triste pais. j'ai l'honeur d'etre avec les sentimens les plus vrais du plus parfait atachement fondés sur la plus haute estime, votre tres humble et ob. Serviteur Monsieur Roland. Cap. le 28 9bre. 1782. je vous prie de ne pas oublier de me repondré sur le dentiste, de vouloir bien me marquer les objets d'une défaite avantageuse dans le comerce. et si vous croyez que je puisse faire quelque chose non pas dans l'état éclesiastique, mais dans un parti honéte. j'oubliais de vous mander que M. de Galves done l'epaulette et l'emploi d'ingenieur á Vallet, et l'on ajoute que charier celui dont il ocupe la maison au haut du Cap aura un Regiment Espagnol. je recois enfin vos livres á 7 h. du soir, je me prive avec bien du plaisir d'une comedie bourgeoise. c'est pour votre service. Je joints une note des dits livres et j'ai doné un recu.

No tenemos nada nuevo ni bueno en este país, no creo ya en las noticias; V. recibe las gacetas de este triste país. Tengo el honor de ser, con los sentimientos más verdaderos del más perfecto apego fundado en la más alta estima, su muy humilde y obediente servidor, Señor. Roland. Cabo, el 28 de noviembre de 1782. Le ruego no olvidar contestarme sobre el dentista; indicarme los objetos de fácil venta en el comercio y si V. cree que yo pueda algo, no en el estado eclesiástico sino en un trabajo honrado. Olvidaba decirle que el señor Gálvez concede la charretera y el empleo de ingeniero a Vallet y se dice que Charier, en cuya casa vive, en lo alto de Cabo, tendrá un regimiento español. Recibo por fin sus libros, a las siete de la noche; me privo con agrado de una comedia burguesa, lo hago para servirle. Le anexo una nota de dichos libros y he dado un recibo.