Le Gouverneur que vous rendrez personellement responsable envers les habitants des Dégats du Bombardement. Si le siége de Maestrickt vous paroit se prolonger, laissez le achever par mon armée et celle de Valence et marcher de votre personne sur Nimêgue, en prenant la moitié des mortiers et du Canon de Douze et de Seize. Si au contraire Maestrickt se rend á un attaque Brusque et au Bombardement comme je l'Espere, alors vous serez plus en forcé pour l'attaque de Nimêgue.
Dans la sommation que vouz feres á la Ville de Maestrickt, n'oubliez pas indépendamment du Gouverneur de faire sommer les Magistrats et de les rendre personnellement responsables du Dégat des Bombes, faites les prevenir, et par eux les habitants que vous n'en voulez qu' aux partisants du Stathouder que vous poursuivrez avec tout rigueur, mais que vous n'avez ainsi que nous tous que de la amitie pour la nation hollandoise, que ce n'est point contre elle, mais pour elle que nous faisons la Guerre et que nous ne Desirons que prevenir les Prusiens qui les Vexeroient comme ils
al gobernador que él será personalmente responsable ante los habitantes de los estragos del bombardeo. Si a V. le parece que el sitio de Maestricht se prolonga, déjelo terminar por mi ejército y el de Valence, y diríjase V. sobre Nimègue, llevándose la mitad de los morteros y de los cañones de 12 y de 16. Si por el contrario Maestricht se rinde ante un ataque brusco y el bombardeo, como así lo espero, V. tendrá más número de tropas para el ataque de Nimègue.
En el requerimiento que V. haga a la ciudad de Maestricht, no olvide, independientemente del Gobernador, intimar a los Magistrados y hacerlos personalmente responsables de los daños de las bombas. Adviértales, y a través de ellos a los habitantes, que V. no tiene nada contra ellos, sino contra los partidarios del Estatúder que V. va a perseguir con todo rigor, pero que no siente, así como todos nosotros, sino amistad por la nación holandesa; que no es contra ella, sino por ella que hacemos la guerra, y que no deseamos sino anticiparnos a los prusianos, que los vejarían como lo