qu'il resta dans ce corps. j'ai abandoné la redaction de la gazeta, on m'avait promis cinquante portugaises mais lorsque j'ai demandé de l'argent on n'a voulu m'en doner que la moitié et j'en ai cessé la redaction. M. Rodríguez á son départ n'a cessé de déclamer contre moi j'etais encage il avait raison, j'ai vendu pour sa compts á l'abé Raynal quatre portugaises, que je perds. la persone etant partie pour france. tant pis pour moi. certainement M. Rodríguez a acheté des livres qu'il me doit, il me les rende, il m'a emprunté un volume de Voltaire qui se trouvé perdu, il prétend que cela n'est pas malgré mon livre ou il est écrit, je crois qu'il doit prendre tout voltaire á son prix ordinaire qui est de dix portugaises, je refuse de lui remétre les quatre, c'est tres simple, en fin il va clabauder partout que je lui doit trente portugaises que je vous en volé 24. j'etais cofre, javais tort, si j'avais eté dehors j'aurais raison. Il est vrai que venant d'étre volé je n'avais pas le sol, je venáis de vendré une montre pour doner 16 portugaises á mon cóusin, j'aurais vendu mon négre pour lui doner ce qu'il demandait pour vous s'il avait éu un pouvoir. Je suis honéte home, M. Rodríguez n'en conait peut étre pas un grand nombre, et ceux qu'il peut conaítre, il n'est surement pas
se quedara en este Cuerpo. He abandonado la redacción de la Gaceta; me habían prometido cincuenta portuguesas, pero cuando solicité el dinero, no quisieron darme sino la mitad y he cesado la redacción. El señor Rodríguez a su partida no cesó de gritar contra mí. Yo estaba en la cárcel, tenía razón. Le vendí el abate Raynal por cuatro portuguesas que pierdo, la persona habiéndose ido para Francia, peor para mí. El señor Rodríguez ha comprado libros que me debe, que me los devuelva; se ha llevado un volumen de Voltaire que no se encuentra. Pretende que eso no es así, a pesar de que está escrito en mi libro. Creo que debe llevarse todo Voltaire a su precio ordinario, que es de diez portuguesas; me niego a entregarle los cuatro sencillamente. En fin, va chillando por todas partes que le debo treinta portuguesas y que le he robado a V., veinticuatro. Yo estaba encerrado, tengo la culpa; si hubiese estado fuera, tendría razón. Es cierto que después del robo no tenía dinero, acababa de vender un reloj para darle 16 portuguesas a mi primo; hubiese vendido mi negro para darle lo que me pedía por V. si él hubiera tenido un poder. Soy un hombre honrado, quizás el señor Rodríguez no conozca muchos y los que pueda conocer, él no será seguramente su