Colombeia

leur ami, mais je lui aurais prouvé que renoncerai plutot á la vie qu'a la probité. je vous envois vos gasettes M. Rodrigue a les anterieures depuis le n. 39. inclusivement ce n'est plus mon ouvrage. j'atends vos ordres j'oubliais de vous diré que le redacteur que vous jugerez aisément a refusé d'insérer ce que je lui extrait du journal, il est de la Clique. adieu, ne dédaignez pas mes embrassements je serai toujours digne de votre amitié, bien des persones vous estiment ici et vous rendent justice, donez moi des conseils d'ami, ma letre se ressent de ma maladie, je puis vous assurez come un auteur que je ne rememorie pas, que ma letre n'est si longue que parce que je n'ai pas le tems d'en faire une plus courte. j'ai l'honneur d'etre avec les sentimens inaliebables de la plus puré amitié. Monsieur et Cher ami vous me doné ce titre… votre tres humble et ob. Serv. Roland. Cap. F. ce 7bre. 1782. D. F. de Miranda.

amigo, pero le habré demostrado que renunciaría más bien a la vida que a la probidad. Le envío sus Gacetas. El señor Rodríguez tiene las anteriores desde el No 39, inclusive, ya no es mi asunto. Espero sus órdenes. Olvidaba decirle que el redactor, que V. juzgará fácilmente, se ha negado a insertar lo que le extraje del periódico, es de la camarilla. Adiós, no desdeñe mis abrazos, seré siempre digno de su amistad. Muchas personas le estiman aquí y le rinden justicia. Deme consejos de amigo, mi carta se resiente de mi enfermedad; puedo asegurarle como un autor que no recuerdo, que mi carta es tan larga porque no he tenido tiempo de hacerla más corta. Tengo el honor de ser con los sentimientos inalienables de la más pura amistad. Señor y querido amigo, (V. me da este título), su muy humilde y obediente servidor. Roland. Cabo Francés, 7 de septiembre de 1782 Don F. de Miranda.