Colombeia

Je vous adresse, mon cher Miranda, le citoyen Koch, avec lequel vous pouvez traiter de confiance l’Affaire de la Zelande avec le colonel Darvel qui a été lui-même à examiner les possibilités et les dangers. L’un ou l’autre vous éclaireront sur les moyens d’execution. Travaille avec eux et envoie-moi tout de suite un courrier. Je suis ici très occupé à ne pas faire grand-chose et très incertain de mon sort car ces cens qui ne conduer concluront rien et ne sont occupés que de leurs factions. Prépare toujours tout, et si la chose a lieu, si vous y trouvez de la possibilité surtout si les gens y deviennent raisonnables et s’occupent du bien je vous joindrai au nouveau où cela sera nécessaire, je vous embrasse. Dumouriez Le 12 janvier